jeudi 30 juin 2016

Loi travail adoptée au sénat, la lutte continue !



lundi 27 juin 2016

Brexit : le bal des démagogues

    Le référendum organisé au Royaume-Uni a donné une majorité pour quitter l'Union européenne. C'est une victoire pour tout ce que la Grande-Bretagne et l'Europe compte de réactionnaires anti-immigrés, de nationalistes et de souverainistes. Et il suffit de voir la mine réjouie d'une Marine Le Pen pour comprendre que cela ne va pas dans le bon sens.

    Dans ce référendum, les intérêts des travailleurs n'étaient représentés ni par un camp, ni par l'autre. Le camp du « in » défendait l'appartenance à une Europe faite pour les capitalistes et les banquiers. Les travailleurs conscients d'avoir affaire à une caste politique et à des institutions qui n'ont jamais été de leur côté ne pouvaient pas l'approuver.

    Mais se ranger dans le camp du Brexit revenait à conforter le vote anti-immigration et raciste et à cautionner les calomnies déversées sur les immigrés accusés de profiter des aides sociales et de prendre l'emploi des Britanniques. C'était, dans les deux cas, un mauvais choix.

    Le monde ouvrier a déjà perdu beaucoup car la campagne pour le Brexit a aggravé les divisions qui opposent les travailleurs britanniques aux travailleurs européens ; les immigrés de longue date à ceux récemment arrivés. Cette évolution réactionnaire est un danger qui menace tous les travailleurs d'Europe.

samedi 25 juin 2016

Brexit or not Brexit, prolétaires de tous les pays, unissons-nous !



mercredi 22 juin 2016

Face aux menaces gouvernementales, manifestons le 23 juin


PSA roule les travailleurs, l’État roule pour PSA



mardi 21 juin 2016

Ils ne nous feront pas taire !

    La manifestation du 14 juin à Paris et les dizaines de manifestations qui se sont tenues en région ont été une réussite. Même le chiffre de la police, qui a compté plus de 80 000 manifestants dans les rues de Paris, le prouve.

    Alors que les manifestations s'enchaînent depuis plus de trois mois et que certains manifestants comptent deux semaines ou un mois de grève, cette mobilisation témoigne, une fois de plus, de la profondeur de la contestation.

    Réduire cette journée, comme l'a fait le gouvernement, à quelques centaines de casseurs, voire à un abruti qui s'en est pris aux baies vitrées de l'hôpital Necker, est une insulte à l'encontre de tous les manifestants.

    C'est une opération politique qui vise à occulter la mobilisation, à faire diversion et à cacher le fait qu'une grande majorité de travailleurs est résolument opposée à cette loi. Car c'est évidemment cela qui gêne le gouvernement.

    Incapable de convaincre que cette loi sera bonne pour les travailleurs, le gouvernement est passé au chantage, aux invectives et aux calomnies.

samedi 18 juin 2016

Montbéliard : « De l'argent pour les salaires, pas pour les actionnaires »


jeudi 16 juin 2016

Valls utilise les casseurs pour discréditer la contestation sociale



lundi 13 juin 2016

Contre la loi travail, manifestons le 14 juin !

    Gouvernement, patronat et médias ne décolèrent pas. Ils ont déversé des monceaux de calomnies. Ils ont fait un chantage grossier à la solidarité avec les victimes des inondations. Ils ont utilisé l'Euro de football pour exiger la fin des grèves. Et malgré tout, la grève à la SNCF se poursuit, les éboueurs tiennent bon et les pilotes d'Air France ont mis à exécution leur menace de grève. Ils ont raison.

    Le gouvernement et le patronat observent-ils une trêve dans leur offensive contre les travailleurs ? Evidemment non, alors pourquoi les travailleurs le feraient-ils ?

    On nous rebat les oreilles avec l'image de la France et la fête qu'est supposée être l'Euro de Foot. La ficelle est grosse. On peut être supporteur de foot, on peut même être sinistré, et ne pas accepter la démolition du code du travail !

    Les droits des travailleurs ne valent-ils rien ? L'Euro dure un mois, mais c'est pendant des années que nous subirons les effets de cette loi, si elle est adoptée. Il y en a marre de tout ce chantage qui vise toujours à ce que les travailleurs se taisent et subissent.

    Les travailleurs font des sacrifices depuis des années, ils doivent être toujours plus flexibles, travailler toujours plus, se mettre en quatre, se dévouer toujours et encore. Tout cela, pourquoi ? Pour que les actionnaires et les PDG s'en mettent plein les poches.

    Hollande et Valls portent l'entière responsabilité de ce qui se passe. Ils accusent les opposants à la loi El Khomri d'être jusqu'au-boutistes, minoritaires, irresponsables. Mais qui est minoritaire dans cette affaire ? Qui s'obstine à imposer un projet de loi massivement rejeté par la population et la quasi- totalité des travailleurs ? Quant à l'irresponsabilité, elle consiste à faire reculer la condition ouvrière des années en arrière !

samedi 11 juin 2016

PSA : Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère…



lundi 6 juin 2016

Contre le chantage du gouvernement et du patronat, manifestons le 14 juin

    Grève à la SNCF ; des raffineries qui continuent de tourner au ralenti ; grève des pilotes d'Air France prévue en fin de semaine ; des rassemblements et des manifestations... la contestation contre la loi El Khomri se poursuit avec l'objectif d'une grande manifestation nationale le 14 juin.

    Les inondations et maintenant l'Euro de football, sont utilisés comme autant de prétextes pour faire taire les revendications des travailleurs. Après avoir été assimilés à des casseurs et même à des terroristes, les grévistes et les manifestants sont désormais traités d'« irresponsables », coupables de manquer de solidarité, de ternir l'image de la France et de mettre l'économie à terre...Tous les moyens sont bons pour dénigrer la mobilisation.

    Hollande explique que « personne ne comprendrait » que les grèves se poursuivent, tandis que Valls qualifie celle des cheminots d'« incompréhensible ». Mais pour qui nous prennent-ils ?

    Les travailleurs se battent depuis trois mois. Ils ont enchaîné les journées de grève et de manifestation pour gagner un bras de fer que le gouvernement leur a imposé. Tant que le gouvernement s'entêtera à faire reculer les droits des travailleurs, ces derniers se battront, et ils ont raison.

    Toutes ces grèves font partie d'un seul et même mouvement : celui de travailleurs qui veulent arrêter l'offensive patronale.

samedi 4 juin 2016

Belfort-Montbéliard : Et de deux pompes à fric...