jeudi 31 mars 2016

J’y suis pour rien M’sieur !

Carlos Tavares, le dirigeant de PSA dont la rémunération a doublé en 2015, s’est permis de dire qu’il n’y était pour rien. « C’est le conseil de surveillance qui (…) décide de ma rémunération ».

En tout cas, c’est bien Tavares, comme ses prédécesseurs, qui décide du gel des salaires et des licenciements dans le groupe PSA, et de toute une politique anti-ouvrière qui a permis aux actionnaires d’empocher des bénéfices et à son PDG de toucher un gros pourboire de plus de 5 millions d’euros.